15/09/2010
(Pilote / K-Drama) Sungkyunkwan Scandal : un highschool drama en costumes
En ce mercredi asiatique sur le blog, la Corée du Sud n'échappe pas au sentiment de relative insatisfaction qui domine pour l'instant la rentrée ; mais, rassurons-nous, le meilleur reste à venir. Pour être honnête, il est vrai que je doutais fortement, avant même de m'installer devant ces deux premiers épisodes, de la capacité de Sungkyunkwan Scandal à m'intéresser. Disons que j'aurais essayé sans préjugé de donner une chance à cette nouvelle série diffusée sur KBS2 depuis le 30 août dernier et que l'essai ne fut pas concluant.
Je reconnais que les cross-dressing shows ont leur charme. Les sud-coréens semblent avoir un goût prononcé - sur lequel il faudrait un jour sociologiquement se pencher - pour ces twists narratifs improbables générés par une héroïne déguisée en garçon, sans doute en partie en raison de leur amour des quiproquos. Le résultat est d'ailleurs généralement au rendez-vous. Coffee Prince reste une référence en la matière, mais les Painter in the wind et autre You're Beautiful ont prouvé que le format pouvait se décliner dans des univers très différents. Cependant j'avais bien deviné que mon principal souci avec Sungkyunkwan Scandal risquait de se situer à un autre niveau : le cadre dans lequel il se déroule. Parce qu'au-delà du décor historique, ce sont bien les codes narratifs d'un classique high school drama (ou d'université, si vous préférez) qui sont recyclés. Or j'ai sans doute déjà dû vous mentionner une vieille overdose que j'ai faite il y a quelques années avec des j-dramas sur ce thème. Désormais, c'est un genre que j'aurais plutôt tendance à fuir. Si bien que, en dépit d'un mélange au final pas inintéressant, il est probable que Sungkyunkwan Scandal demeure à mon goût fondamentalement trop "high school drama", du moins dans ces deux premiers épisodes.
Ce drama nous plonge sur les bancs et dans les coulisses de la prestigieuse université de Sunkyunkwan, qui fut fondée à la fin du XIVe siècle. Se déroulant sous Chosun, il se propose de suivre le quotidien mouvementé d'étudiants, entre romance et concurrence. A l'époque, l'établissement de haute renommée est uniquement ouvert aux hommes (si possible de descendance noble), tant il apparaît inconcevable qu'une femme reçoive une éducation. Kim Yoon Hee va ainsi venir bouleverser bien des traditions. Appartenant à une famille pauvre et endettée, seule valide à la maison, son frère, malade, restant allité, la jeune femme a pris l'habitude de se travestir pour pouvoir exercer ses talents comme scribe, mettant ses qualités d'écriture au service des tours de passe-passe et autres tricheries organisées qui rythment la vie des quartiers étudiants proches de l'université de Sunkyunkwan.
Prête à tout et dotée d'un caractère bien trempé, Yoon Hee prend tous les risques pour subvenir aux besoins de sa famille, et surtout se sauver face à un créancier se faisant de plus en plus menaçant et caressant l'espoir de "l'acquérir". Elle va participer à l'organisation de fraude lors de l'examen d'entrée à Sunkyunkwan. Au cours de ses pérégrinations agitées dans ces coulisses estudantines, bien que déguisée en garçon, elle exerce déjà une certaine fascination auprès de jeunes gens qui, à la différence d'autres cross-dressing show, devinent rapidement qu'ils ont à faire une femme. C'est ainsi que son quotidien mouvementé va l'amener à rencontrer le fils d'un ministre important, Lee Sun Joon, intransigeant jeune homme qui ne doute de rien, Goo Yong Ha, un playboy qui se laisse vivre, et Moon Jae Shin, une sorte de rebelle moitié looser difficilement catégorisable.
L'enchaînement des évènements l'amènera jusqu'à la dernière épreuve d'admission à l'université, à laquelle le roi assiste. Après plusieurs twists et autres retournements de situation, le tout se concluant par un ordre du roi de rejoindre les rang de Sunkyunkwan, Yoon Hee se résoudra finalement à faire sa "rentrée scolaire", sous le nom de son frère. Cela offrira à ce dernier l'accès à des soins gratuits, tout en permettant à sa soeur de bénéficier d'une éducation dont son sexe la priverait normalement. Evidemment, ses soucis au sein d'une université où elle va devoir feindre d'être un garçon jusque dans le dortoir, ne font que commencer...
Si le premier élément qui attire l'attention, dans Sungkyunkwan Scandal, apparaît être un résolu mélange des genres, la série donne avant tout l'impression, au cours de ses premiers épisodes, d'être un high school drama en costumes, le cadre historique tenant alors plus du décor exotique. Tensions des examens, tricheries, arrogance d'anciens élèves, bizutage, aucun ingrédient du genre ne manque à l'appel. Les scénaristes optent en fait pour une radicale modernisation des moeurs estudantines au sein de l'université, préférant s'octroyer plus de liberté pour peut-être mieux toucher le téléspectateur sur un terrain qui lui sera familier.
Si bien qu'on a finalement le sentiment récurrent que l'histoire pourrait tout aussi bien se dérouler dans le présent en conservant quasiment les mêmes ficelles. Seules quelques spécificités culturelles historiques se chargent de nous rappeler, à l'occasion, l'époque. Il y a bien un roi, et il est fort probable qu'un complot sera exhumé derrière les regards en coin de ses conseillers, au cours du drama, mais l'atmosphère qui règne sur ce campus est plus proche de celle que l'on utiliserait pour décrire un tel lieu de nos jours. Ainsi, l'initiative de mêler historique et high school drama qui aurait pu, si ce n'est intriguer, au moins paraître singulièrement originale, échoue à trouver une réelle justification à l'écran, la série peinant à trouver une homogénéité entre tous ces aspects.
Si Sungkyunkwan Scandal ne réussit pas véritablement à imposer et transposer son concept de départ à l'écran, c'est aussi en partie en raison de l'extrême classicisme des ficelles employées : le drama maintient le téléspectateur avec un arrière-goût de déjà vu dont la série ne parvient, à aucun moment, à se départir. Certes, on retrouve bien, par intermittence, une pointe de fraîcheur innocente dans l'écriture, mais l'ensemble manque considérablement de spontanéité et de liant. Tout y est prévisible à l'excès. A partir d'une base déjà mille fois vue, celle d'une héroïne issue de milieu populaire et de jeunes gens héritiers de puissants, tout s'enchaîne comme le téléspectateur un tant soit peu familier des kdramas s'y attendrait. Sauf qu'en plus, tout manque de cohésion, les storylines et leurs coïncidences nombreuses se succèdant de façon saccadée, excessivement téléphonées ou bien maladroitement parachutées. Les deux premiers épisodes peinent ainsi à trouver un rythme consistant, et l'intérêt du téléspectateur vacille au gré de ces aléas.
Pour autant, plus qu'une relative fragilité scénaristique, c'est la difficulté que vont éprouver les personnages pour s'imposer qui va peut-être le plus gêner ; et qui, dans un kdrama, est sans doute la plus dommageable. L'alchimie n'opère en effet pas systématiquement dans les relations entre les protagonistes. S'il n'y a rien à redire sur Yoon Hee, la jeune femme s'insérant parfaitement dans les canons des figures féminines du genre, le problème se pose surtout du côté des personnages masculins. Parmi eux, seul Goo Yong Ha, figure un peu creuse, mais versatile et volatile à souhait, du playboy revendiqué, s'en tire honorablement. A l'inverse, monolithique à l'excès, trop unidimensionnel, Lee Sun Joon reste en retrait, tranchant presque avec le dynamisme global, pas toujours pleinement maîtrisé, que l'on sent poindre dans le drama à travers la mise en scène des coulisses d'une université. Et lorsque le personnage principal du drama convainc aussi peu, cela devient rapidement problématique. Enfin, si la troisième figure masculine n'a pas encore été suffisamment développée pour que l'on puisse émettre un jugement, le peu laissé entre-aperçu m'a plus inquiétée que rassurée sur l'épaisseur du personnage.
Sur la forme, Sungkyunkwan Scandal bénéficie d'une réalisation de bon standing. Résolument moderne, chatoyante à l'excès, avec quelques effets de caméra plutôt agréables à l'oeil, le drama prend assurément la pleine mesure de son décor. S'il éblouit moins que ce que les flashbacks du passé, dans My Girlfriend is a Gumiho, peuvent faire actuellement, cela demeure un résultat très solide. La bande-son quant à elle est pour le moment un peu en retrait, mis à part la chanson de fin. Sur le plan de la musique, la série devrait donc sans doute gagner en assurance progressivement.
Au niveau du casting, l'impression est nuancée, voire très mitigée, sans que l'on puisse clairement distinguer les responsabilités entre les scénaristes et les acteurs. Park Min Young (que j'avais déjà trouvée charmante dans Running Gu cet été) est celle qui s'en sort le mieux, incarnant une héroïne rafraîchissante et dynamique. C'est tout l'inverse de son vis-à-vis masculin, Micky Yoochun, dont l'interprétation m'a rapidement agacée, manquant sérieusement d'énergie. Il m'a semblé aux abonnés absents durant la majeure partie des deux épisodes. Yoo Ah In (The Man Who Can't Get Married), lui, n'est guère aidé par la caricature indigeste d'apprenti rebelle qu'il hérite comme personnage. Au final, parmi les trois, celui qui s'en tire le mieux est sans conteste Song Joong Ki (Obstetrics and Gynecology Doctors) qui surjoue allègrement un rôle de playboy dans lequel il s'amuse à l'évidence beaucoup, et son enthousiasme a au moins le mérite de se ressentir.
Bilan : High School Drama en costume, tenant plus de la série estudantine que du sageuk, Sungkyunkwan Scandal peine à trouver son rythme durant ses deux premiers épisodes. Dotée d'intrigues prévisibles à l'excès, elle manque singulièrement de consistance sur le fond, alors même qu'elle ne réussit pas à compenser cette faiblesse par le développement d'une dimension humaine qui reste insuffisamment travaillée, plombée par un personnage masculin principal ne parvenant pas à s'imposer à l'écran. Trop inégale dans ses storylines comme dans ses personnages, il lui manque sans doute une bonne dose de spontanéité et de fraîcheur pour atteindre une homogénéité nécessaire et qui lui permettrait d'investir avec plus d'aplomb son versant émotionnel.
NOTE : 4/10
La bande-annonce de la série (sous-titrée anglais) :
La chanson de l'OST (que l'on entend notamment en fin d'épisode) :
08:53 Publié dans (Séries asiatiques) | Lien permanent | Commentaires (9) | Tags : k-drama, sungkyunkwan scandal, micky yoochun, park min young, song joong ki, yoo ah in, seo hyo rim | Facebook |
Commentaires
Je n'avais pas l'intention de le voir, et ce que tu dis ne m'encourage pas non plus.
Sans regret, donc.
Écrit par : Eclair | 15/09/2010
Je plussoie ton avis. En plus l'actrice jouant la mère m'a assez agacée. Elle paraissait inexpressive face à sa fille en pleine détresse. J'ai eu l'impression qu'elle aurait pu lui dire n'importe quoi, que cela n'aurait rien changé.
Et Park Min Young n'étant pas assez 'tomboy' à mon goût, j'ai eu du mal à la trouver crédible en garçon :/.
Écrit par : Wax | 16/09/2010
@ Eclair : Cela a eu le mérite de me donner une conscience téléphagique tranquille en sachant que j'aurais essayé, mais, en effet, sans regret.
@ Wax : J'ai eu le sentiment que les problèmes de jeu des acteurs étaient assez généralisés. Je ne sais pas si cela vient du contenu même de la série et de la manière dont les scènes sont écrites, mais il y avait pas mal de déconnexions entre ce qu'on aurait dû ressentir en théorie et ce qui ressortait à l'écran. Il y a des passages où c'était vraiment flagrant, avec l'impression que certains acteurs n'étaient pas du tout concernés. Je ne sais que penser ; d'autant que l'actrice qui joue la mère est généralement assez solide dans les dramas où j'ai déjà pu la croiser. Trop de choses sonnaient faux dans ces premiers épisodes.
En ce qui concerne Park Min Young et sa crédibilité, j'avoue que ça ne me dérange pas trop car l'histoire en elle-même me semble s'affranchir de tout réalisme. Parmi les autres cross-dressing shows que j'ai pu voir, autant dans Coffee House, c'est un aspect qui avait été soigné (mais à mon avis à dessein au vu de la construction de l'intrigue), autant dans un drama comme You're Beautiful, ce n'était pas très crédible non plus. Disons que ça dépend ce que les scénaristes ont en tête, mais manifestement dans SKK Scandal, ce n'est pas leur priorité.
Et puis ses vis-à-vis masculins ne sont pas non plus des modèles de virilité (dirons-nous), et le contraste n'est pas excessif avec Song Joong Ki par exemple. Un article le soulignait très justement sur Dramabeans : http://www.dramabeans.com/2010/09/goodbye-beast-men-hello-candy-men/
Écrit par : Livia | 16/09/2010
Ce drama fait l'unanimité, j'arrête pas de lire un peu partout que c'est le hit de l'année ! N'y tenant plus, j'ai regardé les deux premiers épisodes pour me faire une idée. Bah, je comprends pas l'engouement général ! Mon Dieu que c'est poussif, je veux dire, tout le monde dit qu'il se passe pas grand chose dans "Playful Kiss" (ce que je confirme volontiers ^^) mais "Sungkyungkwan Scandal" n'est guère plus rythmé, j'ai failli roupiller dès le premier épisode (au moment de la tricherie dans la cour). Et le casting ne me plait guère (hormis le playboy), bref je suis entièrement d'accord avec tes dires. Pourtant, suis pas opposée à ce style léger, j'ai adoré "You're Beautiful" par exemple mais là, le mélange historique / léger ne prend pas. Faut dire aussi que je suis en train de quitter à regret "Jejoongwon", difficile d'enchainer avec un school drama historique. Ça me fait déjà tout bizarre de retrouver l'acteur Kim Gab Soo bien portant ;p).
Écrit par : Lynda | 12/10/2010
@ Lynda : J'ai tenté ce drama et posté cette critique très tôt, donc avant l'énorme buzz qui entoure désormais ce drama... (Ce qui fait qu'a posteriori, je me dis quand même que je suis vraiment en décalage avec la tendance globale). Je n'avais pas d'a priori particulier, mais, comme tu le vois, je l'ai expédié sans arrière-pensée, sans même desceller, sur les 2 premiers épisodes, qu'il pourrait devenir un tel phénomène. Et je ne m'explique et ne comprend toujours pas ce phénomène... Le playboy est effectivement le seul qui sort du lot, mais bon, mais voilà, ce début manque de consistance, le dosage entre historique et high school drama est artificiel... Bref, j'avoue que c'est vraiment LE mystère actuel du côté des kdrama. Peut-être faut-il persévérer...
Ca me rassure un peu de ne pas être la seule à être hermétique à ce drama. Surtout toi qui l'a débuté par curiosité... Un mystère impénétrable qui doit trouver sa source dans les fans de kdrama sans doute ^_^
Par contre, à l'opposé, dans le genre kdrama passé presque inaperçu mais qui méritait vraiment le détour, JeJoongWon, c'est vraiment prenant, n'est-ce pas ? Je m'en veux de ne pas encore avoir trouvé le temps de caser en bilan, j'ai fait une excursion japonaise durant la période de battement de fin septembre. Mais en historique, ça doit être mon préféré de l'année. Devant Dong Yi (que je n'ai pas encore fini par contre), puis Chuno. (Ce sont les trois seules que j'ai vu.)
Quant à Playfull Kiss, j'avoue que je n'ai même pas tenté... Ca ne me disait vraiment rien. Quitte à faire dans la comédie romantique de détente sans prétention, j'ai tendance à préférer des séries avec des personnages adultes, comme Dr Champ.
Écrit par : Livia | 13/10/2010
C'est vraiment dommage que vous vous contentiez de 2 épisodes pour vous faire un avis. Je n'étais pas très chaud au départ je l'avoue à cause du contexte historique et je craignais de ne vraiment rien comprendre. Mais là, grosse surprise ! Les épisodes sont de mieux en mieux et surtout à partir de l'épisode 8 où les choses deviennent intéressantes. J'en suis au 14 actuellement et c'est génial ! Bon après chacun a son avis hein.
Écrit par : Noah | 17/10/2010
@ Noah : 8 épisodes de kdrama, c'est quand même énorme. Ca veut dire un investissement de 8 heures, au cours desquelles j'aurais eu le temps de regarder une série japonaise en entier, ou toute la saison 9 de Spooks ! Il faut arbitrer parfois... Actuellement, j'avoue fonctionner beaucoup trop à flux tendu pour envisager de reprendre ce drama. Pourtant, au vu des critiques et de l'enthousiasme que je croise sur le net, je ne dis pas que je ne retenterai pas de lui donner une seconde chance ultérieurement. Mais je doute quand même de parvenir à accrocher. D'autant que ce n'est absolument pas le contexte historique qui me dérange, j'adore les sageuk et en regarde chaque année plusieurs, mais c'est plutôt l'ambiance "high school drama" qui me pose problème.
Enfin, en tout cas, ça fait toujours très plaisir de lire des avis enthousiastes sur des dramas - même si on ne partage pas toujours cet enthousiasme sur la série concernée. ;-)
Écrit par : Livia | 20/10/2010
Bonjour,
Je suis en Corée et à ce qu'on m'a dit, le drama a eu beaucoup de mal à démarrer, avant de devenir un hit; les premiers épisodes n'ont pas motivé les foules. Par contre l'acteur Micky a fait un tabac chez les Coréennes de ma connaissance, et beaucoup de désespoir quand il a dit qu'il allait se concentrer désormais sur son groupe.
Personnellement, je l'ai regardé en entier, et si j'ai assez aimé en grande partie (à partir du 2e épisode), j'ai trouvé la fin longue et peu crédible(une histoire de complot plutôt tirée par les cheveux). Alors certes ce drama ne cherchait pas (du tout) à être réaliste, néanmoins à mon avis le complot arrive comme un cheveu sur la soupe (histoire de relancer le scénario...). Bref, tout ça pour dire que si tu n'as pas aimé le début (et tes critiques sont tout à fait justifiées), je te déconseille de passer du temps à regarder la suite, malgré l'engouement général.
PS : ton blog est très sympa et intéressant :) (je suis arrivée en cherchant une critique de City Hall)
Écrit par : Laneige | 15/12/2010
@ Laneige : Bienvenue par ici, toi qui a la chance de pouvoir suivre en direct et d'apprécier sur place les k-dramas :) (depuis un peu plus d'un an, la Corée est un pays qui me fascine vraiment ; j'essaye de m'attarder et d'explorer son paysage téléphagique.)
Pour ce qui est de Sungkyunkwan Scandal, je pense qu'il se situe peut-être trop en dehors des types de dramas que j'apprécie (j'aime les séries historiques, moins le côté "high school"). Je ne crois pas que j'aurais le temps de m'entêter, merci pour beaucoup ces précisions (Mais, vraiment? Les Coréennes, fans de Micky? Bon, je connais quelques fans de kdramas de ma connaissance qui ne sont pas non plus restées insensibles...).
PS : Par contre, City Hall, j'avoue que j'ai absolument adoré et que cette comédie romantique figure sans nul doute parmi mon top 5 de mes kdramas préférés ! :)
Écrit par : Livia | 17/12/2010
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